Chez SML, la prise de conscience des défis environnementaux n’est pas venue d’un seul instant, mais d’un cheminement collectif, porté par des perspectives complémentaires au sein de l’entreprise. Nous avons participé à la CEC en ayant chacun nos connaissances sur les sujets Climat et Limites planétaires. L’idée commune de notre binôme était de préparer l’avenir dans un monde qui change.

Des évidences : la nécessité de se mettre en mouvement, d’embarquer les équipes, d’embarquer notre écosystème et se challenger pour relever ce défi.

L’entreprise est un lieu stratégique pour agir. Au-delà des impacts directs que l’on va chercher à supprimer, l’action en entreprise vient casser le triangle de l’inaction et participe ainsi à mettre en mouvement l’ensemble de la société. Elle réduit alors la frontière entre l’individu et le collectif, l’action professionnelle s’imbrique ainsi avec l’engagement personnel.

Lors de la session 2, les outils méthodologiques et les exemples des conférences de Romain Cristofini et Grégory Richa ont à la fois, piqué notre curiosité, mené à modifier notre regard et montré des chemins possibles. C’est ce que nous avions appelé lors du travail en camps de base la « réhabilitation des petits pas » : le mur est là, il est haut, semble lisse et infranchissable, mais nous commençons à voir des prises, des interstices, des points d’appui par lesquels nous parviendrons à le gravir m après m.

Avec la CEC, nous avons amorcé notre mise en mouvement, alors réfléchissons, travaillons ensemble pour permettre à la feuille de route que nous avons écrite de prendre son envol.

Plutôt que d’être dans le jugement : positivons, gardons un esprit critique et allons vers une Gouvernance collaborative, utilisons les talents de tous.

Nous avons des fils à tirer et une certitude : on ne peut pas rêver seul.

Notre feuille de route est à retrouver ici :

https://feuillesderoute.cec-impact.org/fr/fdr/Massif%20Central%202023/SML/608/